L'aventure des Crazy Pirates!

CHAPITRE 4
UN BON DUO



-Donc c’est dans les maisons de paris qu’on va pouvoir gagner de l’argent, dit Iloc.
-Oui, répondu Olf. Mais ce jeu est dangereux, dans le sens où l’on pourrait très bien s’enrichir comme tout perdre.
-C’est vrai, aaaaaAAAAAAHH ! Je n’aime pas quand il y a trop de pression, rajouta Iloc.

Alors que les deux amis continuèrent leur route, des hommes les poursuivaient. Il sont à présent passé d’une dizaine à une vingtaine.

-Alors capitaine Derek, demanda l’un des hommes.
-Assaut massif, dit le capitaine d’une voix terrifiante.

Tous les hommes alors se jetèrent tel des loups sur leurs proies, armées d’épée, de pistolet et de couteau.
Alors qu’Iloc et Olf observèrent qu’ils étaient encerclés, les hommes de Derek continué de restreindre les mouvements de deux amis.

-BASTON, cria Olf.

Alors que cinq de ces hommes arrivèrent sur Olf, ce dernier effectua un combo des plus remarquables. En effet, Olf donna un coup de poing au premier, qui gisait à présent sur le sol, sauta donna un coup de pied en l’air au second, en retombant il donna un coup de tête au troisième, puis étant au sol fit un croche patte au quatrième et quand le cinquième arriva, Olf pris appui et avec la seule force de ses bras, donna une impulsion contre le sol qui le propulsa, lui permettant de donner un coup de talon des deux pieds dans la mâchoire de l’homme restant.

-Et dire que je pensais rouiller, dit Olf en rigolant. A voir son visage, on pouvait deviner qu’il avait attendu une telle situation.
-C’est quoi ce type, pensa Derek, ne vous arrêtez pas, dit il a l’intention de ses hommes, continuez, faite les souffrir.
-Calmez-vous, je vous prie, dit Iloc.

Iloc se tenait là, entouré de cinq hommes et sorti son sabre. Il se positionna de telle façon qu’il ne tenait son sabre que de sa main droite et positionna ses jambes comme si il allait effectuer un 100 mètre, et dit d’une voix calme :

- Fuka tatsumaki (charge tornade)

Et il s’élança droit devant envoyant valser les cinq hommes qui l’entouraient.

-QU’EST-CE QUE C’EST QUE CA, demanda Derek stupéfait, REPRENEZ VOUS, DU NERF !!!!!
-Il va peut-être falloir que tu t’en mêle si tu ne veux pas qu’ils y passent tous, dit Olf en rigolant.
-Rira bien qui rira le dernier, répondu Derek, tous ceux capable de se battre, avec moi, A L’ATTAQUE.
-WOOOOOOOOOOOOO !!!!!
Et tous les hommes restant de Derek et lui-même se lancèrent dans la bataille.
-Ecoute, Iloc on va faire ça, il faut atteindre ce gros type directement.

En effet en voyant Derek sortir de l’ombre, on pouvait voir qu’il s’agissait d’un homme grand et gros portant deux lances dans le dos et portant un gros pistolet ainsi qu’une énorme épée. Il était plutôt moche comme garçon, il avait une barbe très mal rasée avec des cheveux qui paraissait vraiment gras mais avez des yeux terrifiants, comme si ses yeux voulait montrer la mort a son ennemi.
Pendant que Derek et ses hommes continuer d’avancer, Olf finit d’expliquer les indications à Iloc.

-Je vois…. Tu es un malade !! dit Iloc. Mais j’avoue que c’est une idée.
-Aller, tu es près, demanda Olf.
- Vas-y, j’suis prêt.

Iloc se tenait désormais un peu fléchit et tenait son sabre sur sa droite. Olf courra vers Derek puis arriver devant lui, évita un coup d’épée puis reparti en arrière comme pour prendre la fuite. Olf commença à distancer Derek qui commença à s’épuiser à cause de tout ce qu’il portait sur lui.
Olf arriva à hauteur d’Iloc et sauta sur l’épée de ce dernier.

-Kūgun…, prononça Iloc en envoyant, grâce à son sabre, Olf en plein sur Derek.
-KONG CANNON, dit Olf.

Olf arriva les deux poings en avant, et frappa donc violement le capitaine Derek qui tomba net sous la puissance de cette attaque.

-Impossible, pas notre capitaine, dit l’un des hommes apeuré.
-Il…vaut…. 9 millions de Berry !! COMMENT EST-CE POSSIBLE ?

Tous se tournèrent vers leurs capitaine qui semblé inconscient à présent. Sa tête paraissait comme écraser à cause de l’impact. Ce puissant homme, battu par deux jeunes pirate aussi facilement, impossible pensaient-ils, c’est qu’un mauvais cauchemar. Ils soupirèrent tous et fermèrent les yeux pour ensuite les rouvrir comme si ils se réveillé. Ils virent tous alors les têtes des jeunes pirates se disant :

-Il vaut vraiment 9 millions ?
-Faut croire.

Et tous les hommes de Derek se mirent à crier :
CE N’EST PAS UN CAUCHEMAR !!!!!!!

Et ils partirent tous, en appelant l’aide de leurs mamans, en laissant seul leur capitaine avec Olf et Iloc.

-Bon, je le prends avec nous, dit Olf.
-Et pourquoi, demanda Iloc.
-Je pense qu’il doit y avoir des bureaux de chasseurs de primes ici.
-Ah oui ?
-Enfin je pense, étant donné que j’en suis arrivé à la conclusion qu’il n’y as pas de marine ici, donc on ne pourra pas le livrer a la marine.
-Pourquoi tu veux le livrer, demanda Iloc.
-Pour avoir la récompense, répondu Olf.
-Ah je vois, les 9 millions. Très bonne idée, Vax sera content, dit Iloc.

Et les deux amis se dirigèrent de nouveaux vers les arènes.
Après avoir passé les bâtiments d’armes ils arrivèrent a une petite place où se situé plein de tavernes et auberges. Jamais on ne va y arriver à ces arènes, pensa Iloc. Olf s’arrêta comme si il avait entendu ce que pensait Iloc.

-C’est la place dont m’a parlé la vendeuse, les arènes sont juste derrière, dit Olf. On va s’arrêter dans une taverne pour demander où se trouve, s’il y en a un, le bureau de chasseur de primes.
-OK, répondu Iloc.

Olf et Iloc entrèrent alors dans la première taverne a leur portée. Cette taverne était plutôt grande avec des tables qui étaient un peu partout, un comptoir, quant a lui, grand avec de nombreuses personnes à ses alentours. Le comptoir se situant au fond de la salle, Olf et Iloc s’engouffrèrent dans la masse de personne afin de rejoindre le comptoir. Chaque personne se retourner et regarder avec stupéfaction l’homme qu’Olf trainer par terre.

-il s’agit de Derek, capitaine des Derek pirates, dit une voix tout doucement.
-il me semble que sa tête est à 9 millions de Berry, ajouta une autre voix.

Olf et Iloc arrivèrent au comptoir sous les yeux admiratifs du tavernier.
-Que puis-je pour vous, demanda le tavernier.
-Existe-t-il un bureau de chasseur de primes s’il vous plait, dit alors Olf.
-Oui, je vais vous l’indiquer sur une carte, je reviens, dit-il, voulez-vous également quelque chose a manger ou à boire ?
-Nous prendrons deux rhums S’il vous plait, dit Iloc.

Les deux camarades allèrent s’installer dans le fond de la taverne.

-Maintenant, ils croient tous que nous sommes chasseur de primes, dit Olf. Merci, dit-il à l’intention de la serveuse.
-Il va falloir faire attention, dit Iloc, ils pourront nous tomber dessus n’importe quand.
-Voilà messieurs, dit le tavernier, en fait vous traverser la place comme pour aller aux arènes, et dès que vous arrivez aux arènes vous prenez à droite puis encore la première à droite. Au cas où, je vous l’ai indiqué sur cette carte.
-Merci tavernier, dit Iloc.

Alors que le tavernier repartit, les deux amis souriaient, trinquèrent puis vidèrent complètement leurs verres avant de sortir du bâtiment sous les regards ténébreux des pirates de la taverne.


Une heure plus tard


-AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !!! Ou sinon comment empocher facilement 9 millions de Berry, dit Iloc.
-J’en connait un qui va être content, dit Olf. Retournons au navire maintenant, on a tous ce qui nous faut Iloc.
-Et les arènes, demanda Iloc.
-La nuit arrive, et trainer ici de nuit ne m’inspire pas tu vois et de toute façon on doit aller voir pour recruter un médecin, on ira aux arènes demain.
-Ouais, dit Iloc déçu, je voulais tellement…
-Je sais, moi aussi, le coupa Olf, mais il faut rentrer maintenant.
Iloc suivi son ami presque avec rancœur envers celui-ci.






Très franchement ce chapitre est venu tout seul !!!!
J’espère qu’il vous plaira.

CHAPITRE 5 : ET UN NOUVEAU MEMBRE !!!





Olf et Iloc traversèrent les rues de Tournament Town et admirèrent cette magnifique ville au soleil couchant. Ils furent tout deux traversé par un sentiment de bien-être, de par la beauté qui se prêtait à leurs yeux et également par la satisfaction du travail bien fait.

Olf regarda autour de lui et remarqua alors que toute les personnes présentent dans les rues les fixaient, lui et Iloc. Il pensa alors que c’était en rapport avec la capture de Derek qui avait troublé tout le monde dans la taverne. « Ce sont eux qui ont capturé le capitaine Derek, dit Armes fatales ? », demanda une voix. « Oui, je les ai vues entré dans une taverne en le trainant au sol », répondu une autre. Olf et Iloc se sentirent alors oppressé, comme si il manquait d’air.


-Il fallait s’y attendre, ajouta Olf, reste méfiant Iloc, peut être que certaine de ces personnes veulent nous attaquer.
-Compris, répondu aussitôt Iloc, comme s’il savait déjà ce qu’allait dire Olf.

Les deux amis reprirent leurs marches et s’éloignèrent de plus en plus des arènes.

Une fois que les deux amis arrivèrent au port, ils remarquèrent que tous les pirates se regroupaient dans leurs navires respectifs. Certains avait déjà commencé à faire la fête tandis que d’autre se battaient pour un oui ou pour un non. « De véritables gamins », pensa alors Olf. Mais, comme s’ils c’était donné le mot, les pirates tournèrent tous la tête vers le quai et observèrent alors les deux nouvelles têtes. Les chants, les bagarres et scène d’amour cessèrent presque immédiatement. Tous observèrent les deux jeunes pirates. Ils ne mirent pas longtemps a apercevoir qu’il s’agissait des deux pirates ayant battu le capitaine Armes fatale, Derek. Olf et Iloc continuèrent, sans se soucier des regards qui pesaient sur eux, leur marche. Le long du quai, fait de pierres épaisses et longues, ils virent au fur et a mesure de plus en plus de regard se tourner vers eux.


-J’ai l’impression d’être une star, dit Olf.
-C’est pas toi qui disait d’être attentif, dit en soupirant Iloc.


Olf et Iloc continuèrent à marcher et arrivèrent enfin à leur navire. Ils y montèrent grâce à l’échelle et atterrirent le pont du vaisseau. Olf et Iloc, stupéfaits, regardèrent leur capitaine. Il portait à présent un costard vert émeraude qu’il portait par-dessus une chemise blanche parfaitement droite, et également une cravate couleur émeraude. « Un véritable mafieux » pensèrent Olf et Iloc. Vax se retourna et tenait un chapeau, couleur émeraude également, qu’il enfila sur sa tête.


-Alors cette première journée ? demanda-t-il.
-Plutôt concluante, répondu Olf, on a amassé 9 millions de Berrys, dit-il l’air extrêmement heureux.
-Je vois, dit Vax en s’approchant vers eux, c’est bien mais…
-Mais quoi ??? S’inquiétèrent les deux garçons.

Vax arriva juste devant eux et les frappa d’un bon coup de poing chacun.

-VOUS AVEZ PAS IDEE DE VOUS METTRE DANS DE TELLE SITUATION, CRETINS.

Et il les frappa une nouvelle fois comme pour se soulager.

-IL FAUT ETRE STUPIDE POUR, DES LE PREMIER JOUR, SE FAIRE REMARQUER PAR TOUT LES PIRATES DE CETTE ÎLE. VOUS CROYEZ QU’ON VA POUVOIR SE PROMENEZ TRANQUILLEMENT MAINTENANT, IMBECILE.

Et Vax les frappa une troisième fois et leurs tournèrent le dos.

-Nous chommes décholé, vraiment décholé, dirent les deux camarades sur un ton à peine audible.
-Reposez-vous maintenant, dit Vax d’un beaucoup plus calme.
-Ch’est quoi le progroum de demain ? demanda Olf.
-Vous, ce que vous voulez, on ne peut pas vous confié quelque chose sans que ça déborde, répondu Vax.
-Au fait, annonça Iloc qui semble s’être remis des coups de son capitaine, il y a une multitude d’enseigne de médecin, tu pourras certainement en trouver un pour l’équipage.
-Voilà une bonne nouvelle !!!! S’exclama Vax, vous ferez ce que vous voudraient tandis que moi je m’occuperais de recruter un médecin.


Mais soudain, les trois amis entendirent comme un hurlement qui leurs paraissaient lointain. Vax, Olf et Iloc cherchèrent d’où pouvait bien provenir ce bruit, tout en entendant le son de ce cri s’accentué. « Mais bon sang, c’est quoi ça » demanda Olf, l’air paniqué. Et ce s’accentua encore et encore, jusqu’à que Vax décida de voir en l’air si rien ne se passait. Il vit alors quelque chose qui tomba dans le ciel et cette chose parraissait de plus en plus grosse. A un certain moment Vax, abasourdi, reconnu alors le visage d’un être humain qui était en train de lui tomber dessus.


-Un homme arrive droit sur nous, il tombe du ciel.
-QUOI ???? s’écria Iloc.
-Balèze le vol, dit Olf, excité, je veux voler aussi !!!!

Iloc le tapa sur la tête en lui disant qu’il n’irait nulle part.

Le visage de l’homme devenait plus clair pour Vax, mais il n’eut le temps de bien l’observer. En effet l’homme lui était tombé dessus, ayant mis Vax KO.

-Ouf ! Et bien qu’elle chance que vous étiez ici, vous avez quelque chose a manger s’il vous plait ? demanda le mystérieux petit bonhomme.
-T’ES TROP DIRECT, crièrent Iloc et Olf.

Cet homme était petit, muni d’une casquette rouge, de petit habits rouge clair et d’une blouse au dos de laquelle, se trouvait une croix rouge. Il paraissait âgé mais semblé également péter la forme. Il ne ne devait même pas faire un mètre ! Il se releva et aida Vax à reprendre ses esprits.
-Comment vous sentez vous, monsieur, surtout excusez-moi, dit-il.
-C’est pas grave, dit Vax en se relevant. Oh !!! UN NAIN !!!
-C’est vrai que je ne suis pas très grand mais j’ai quand même 40 ans !
-40 ans, dit Olf, le ptit vieux, dit-il en rigolant.
-Te moque pas de moi sale gamin, répondu l’homme. Sache que j’ai un nom et c’est Thalos ! Thalos, l’homme qui sera venir au secours de n’importe quel malade et qui saura vaincre toute maladie.
-TU ES MEDECIN !!!??? hurlèrent les trois amis en simultané.
-Oui, pourquoi ?
-Ça te tenterait de rejoindre notre équipage ? demanda Vax.
-Vous êtes des pirates ?
-Oui, ça pose un problème, dit Iloc.
-Non, pas du tout, je me suis toujours dit que, d’une, je ne pourrai jamais voyager seul et de deux, …J’AI BESOIN D’ÊTRE LIBRE COMME UN PIRATE POUR ÊTRE HEUREUX, dit-il en criant sa joie. Alors si cela était une proposition, je l’accepte immédiatement, dit Thalos.
-Bien sûr que ça en était une, dit Vax. Au fait, moi c’est Vax, capitaine, et ça c’est Iloc et Olf, mes amis et tes nouveaux compagnons.
Les larmes de Thalos coulaient à présent sur ses joues, et il leva la tête vers le ciel :
-Maman…on m’a enfin accepté pour ce que je suis, ces personnes ont l’air tellement sympathique et marante, pensa-t-il.



Voilà, n'hésitez pas a commentez et a me dire ce qui va pas!!

CHAPITRE 6
MERCI


Thalos ferma les yeux et repensa alors à tout ce qu’il avait traversé avant de rencontrer des gens comme ces gaillards-là. Il se revit alors être un petit garçon, tout vêtu de petit vêtement rouge, et pleurnichard, très pleurnichard. Il devait avoir 10 ans. Mais on peut tout à fait le comprendre. En effet, tous les enfants de son âge, mémé plus petit et plus grand, se moquer de sa petite taille. « Aller !! Vient là le nain », « On dirait un chien ! C’est que doit être un chien en fait non ? », « Ici, mon toutou ». Tout le temps, ils se moquaient de lui, ce qui le faisait énormément souffrir.


-Ce n’est pas vous qui êtes atteint d’une maladie coupant la croissance, j’vous jure ce n’est pas marrant, disait-il au bord des larmes.

Et il partit sous les rires moqueurs des autres enfants.

Sur le chemin de retour de sa maison, il pleurait mais était également empli de haine envers ces enfants. C’est alors qu’il aperçut au loin sa mère, laissant ses cheveux blanc bouclé et magnifique se faire bercer par le vent. Thalos avait les mêmes cheveux qu’elle. Une joie inexplicable s’empara de Thalos et alla à la rencontre de sa mère. Une fois arriva a elle il s’accrocha a une de ses jambes et pleura.


- Ils t’ont encore embêté ? demanda-t-elle d’une voix douce.
-O….Ou…Oui maman, dit alors Thalos toujours en train de pleurer.
-Mon cœur, dit sa maman, tu es magnifique, dit toi que ce qui est petit est mignon et ce qui est grand est tout simplement idiot.
-Mer… (Snif)...Merci maman.


Toute les journées se passèrent ainsi, et c’est donc pour cela qu’il voua a sa mère un amour inimaginable. Dès qu’il la voyait, un rayon de soleil s’illumina en lui et se certifié d’être l’homme le plus chanceux d’avoir une telle mère. Mais, un certain jour, tout bascula. En rentrant chez lui, il ne vit pas sa mère dehors et courra alors dans la maison. « Maman », cria-t-il, « Tu es là ? ». Et là, il vit sa mère allongé sur son lit entouré de trois hommes. « Que se passe-t-il maman ? » demanda-t-il apeuré. Les médecins décidèrent de partirent en disant a la mère de Thalos qu’elle profite au maximum de ce qu’elle chérie le plus. Quand ils eurent fini de passer la porte, Thalos se précipita au côté de sa mère.


-Maman, tu vas bien ? Que se passe-t-il, hein ??? demanda-t-il.
-Mon cœur, mon fils, dit-elle, je dois t’avouer ce qui se passe.
Thalos resta bouche bée et le silence se faisait maître dans la pièce.
-Je…J’ai contracté une maladie, lui dit-elle.
-Sa…Sa va alors, dit Thalos, une maladie se guéri, ça va aller mieux, super !!!
-Je…ne pense pas, mon cœur.
A cette parole, Thalos devint blanc et se retourna vers sa mère l’air affolé.
-Mais qu’est ce qui ce passe alors, supplia-t-il.
-J’ai… contracté une maladie…incurable, cela fait déjà un petit moment.
-Incurable ???
-Que l’on ne peut soigner. Mon cœur, sache que je t’aime de tout mon cœur, et...
-NE PARLE PAS COMME SI T’ALLAIT MOURIR, coupa Thalos.

Thalos s’installa auprès de sa mère.

-Je deviendrai médecin et je te sauverai tu verras ! dit Thalos sur un ton déterminer. Je serai l’homme qui vaincra toute les maladies même les incurables, tu verras !!
-Je…suis…fi…fière…de…de…
-Maman ?!
-Toi, mon….mon…
-MAMAN ???!!!
-cœur….

Et il remarqua que son idole, selon lui la plus belle fille du monde, sa mère s’était éteinte devant lui. Thalos pleura alors de toute son âme pendant une semaine.

Une fois sorti de chez lui, tous les enfants qui le voyaient lui disaient : « Tu es tout seul maintenant », « Mais oui, ou est passé maman ? ». Et ils continuèrent de rire sur le compte de Thalos, le faisant de plus en plus souffrir. Et chaque jour, il pleurait et en voulait au destin que lui avait réservé la vie.

A la fin de la journée, il s’isola sur la montagne qu’abritait son île. Il regarda l’horizon et ce magnifique soleil couchant et se disait qu’un jour il aurait des amis sur qui compter en toute situation, même les pires. « Je serai libre ! Libre de tout et de tous, surtout de cette île se dit-il ». « Maman, je réaliserai ma promesse, je vaincrai toutes les maladies !!! »

Et puis, au fur et à mesure qu’il «grandissait », il était toujours au centre des railleries et décida de quitter l’île grâce à un navire marchand. Dix ans après la mort de sa mère, il arriva à Tournament Town et commença, sous la tutelle d’un enseignant, à apprendre la médecine. Son maitre se nommer Garion, et il le vénérait de par ses grandes connaissances dans le domaine médical. Garion était une personne de 40 ans lorsque Thalos en avait 20, il avait des cheveux brun tiré en arrière et était vêtu de toute une panoplie de médecin. Il était devenu le parent de Thalos et lui a appris tout ce qu’il savait tant bien sur la médecine que sur la vie en général. Thalos a toujours considéré qu’il devait sa « survie » a deux personnes : sa mère et Garion. Garion connaissait la vie de Thalos et quand ce dernier lui parla d’un éventuel départ pour découvrir le monde, il ne put s’empêcher de rire et de lui dire qu’il devait être libre comme il l’avait dit à sa mère et surtout de réaliser son rêve.

Thalos reprit ses esprits, regarda le ciel et se dit : « Vous avez vu, maman, sensei…des gens veulent de moi, il m’accepte !!! Je suppose que c’est avec eux que je dois vivre l’aventure, n’est-ce pas ? ».

Bien sûr, aucune réponse ne vint à lui, mais il disait cela comme pour se convaincre que c’est ce qu’aurait souhaitez ses parents. Et à partir de maintenant, il commençait sa vie en tant que pirate.

Alors que Thalos était perdu dans ses pensées, Olf l’appela et lui demanda de venir les voir. Thalos descendit du pont et alla dans la cuisine et vit les trois amis tenir un pavillon pirate. Sur fond noir, une tête de mort clignait d’un œil, avait un grand sourire et portait également un chapeau. Cette tête de mort se trouvait sur deux os croisés.


-On avait pas envie de faire un truc trop compliqué, expliqua Olf.
-Géniale, dit Thalos, c’est super !!!
-Ça fait plaisir de savoir que ça plait a tout le monde, ajouta Vax. Bon, on a plus rien à faire ici, annonça-t-il, demain matin nous partirons.
-QUOI, crièrent Iloc et Olf, ET LES ARENES TU LES OUBLIES ??
-LA PROCHAINE FOIS PEUT ETRE QUE VOUS REFLECHIREZ AVANT D’AGIR, IMBECILES !!!
-Désolé, dirent Olf et Iloc.
-WAOU !!! ILS SONT SOUMIS, dit alors Thalos en rigolant.
-Dit le nain, tu veux te battre dit Olf, une fois arrivé devant lui.
-Essai, sale gamin.
-On se calme vous deux, décida Vax.
-Oui capitaine, dirent-ils.
-Au fait, il faut que je récupère mes outils de médecin sinon je ne vous servirai a rien, annonça Thalos.
-Ok, On t’accompagnera tous demain, répondu Vax.

La nuit passa et nos amis pirates se levèrent à l’aube.

Ils décidèrent de de suite partir pour récupérer les outils de Thalos. Rues après rues, place après place, ils arrivèrent enfin à l’aller des enseignes de médecin. « Le cabinet se trouve dans les petites ruelles derrière ces enseignes » informa Thalos. Ils passèrent alors derrière les enseignes, marchèrent le long de la rue et arrivèrent au cabinet de Thalos. Mais c’est alors que les 4 compagnons remarquèrent que le cabinet avait été mis à sac.


-Qu’est-ce que… ? demanda Olf.
-Aly…, prononça Thalos dans une voix à peine audible.
-Qui ça ? Questionna Vax.
Thalos se laissa tomber sur les genoux tout en prononçant d’une voix à présent audible et dont on pouvait deviner la colère : « ALY !!!!! ».
-Aly ? Questionna Olf.
-Je savais qu’il en avait après moi, mais il est allé trop loin, informa Thalos. Ces outils m’ont été laissés par mon sensei. L’enflure, ajouta-t-il en lâchant quelques larmes. La seule chose qui me reste de vous, Garion sensei !!!
-C’est qui cet Aly, demanda Vax en posant une main sur l’épaule de Thalos.
-C’est le directeur des arènes.
-Et où est-il maintenant, demanda Iloc.
-Il est toujours dans l’arène principale, dit Thalos. Mais pourquoi vous demandez ça ?
-On va lui faire sa fête, répondu Olf.
-Non !!! Vous savez, ici, pour les pirates, c’est le maitre, c’est lui …
-Ca ta fait du mal de voir ça, non ? dit Vax. Peu importe qui il est, s’il rend malheureux un membre de mon équipage, je lui fais sa fête, c’est comme ça.
-C’est lui qui paye les pirates, ils vont tous le défendre, et ils sont extrêmement nombreux comme pirate à être dans les arènes !!! Informa Thalos. Vous allez vous faire étendre !
-Crois en nous, tes nakamas, dit Iloc. On va se faire plaisir ! En plus, on devait aller faire un tour avec Olf aux arènes, ce sera l’occasion.
-Je suis tout à fait d’accord, répondu Olf.
-Merci, dit en sanglotant Thalos.
- Pleure pas le nain, dit Olf.
-Bais(Snif)... Je ne beure bas ! Sale gabin !


Et les quatre amis se mirent en route vers les arènes où va sans doute se jouer la suite des aventures de chacun.

Edit Eilee:évite de faire autant de post d'affiler

J'ai pas encore tout lu, mais ça me plait bien, malgré les nombreuses fautes d'orthographes

Pour le moment, je mettrai la note de 7.5/10

Edit : Thalos ? Rapport avec Golden Sun ?

Edit 2 : Non, dans Golden Sun, c'est Thélos

Je ri , je suis sur que tu fais pas mieux vu ton ortographe , et zek' a peu être pas d'arguments mais , lui il fais pas comme toi , il dit pas la même connerie que toi (je parle de tes arguments qui n'en son aucunement )Eternia est déjà assez amoché , alors arrête donc de les enfoncer encore plus .

Tales of Eternia?

Ecoute petit, j'etais juste present sur le tchat quand vous maniganciez vos petites magouilles, du coup en tant que bon noeliste je me suis dit go troll.

Les accents n'apparaissent pas chez moi vu que j'utilise un clavier Azerty, apprend un peu petit!

Toi aussi tu argumente telle une M**** en chaleur!

Ah c'est toi elekk ? ho putin tes con d'habitude mais là tu te surpasse et si tes pas lui désolé de t'avoir traité . Allez avoue ton identité ; sinon tes qu'un gros lache .

Tu n'es qu'une merdouille, se perdre dans ses pensees et etre destabilise par l'adversaire tel un jouet, j'explose de rire.

Ton cas n'est pas une généralité .

Haouh, la vieille feinte de primaire, dire que j'ai 26 ans, rha la la, la jeunesse de nos jours!

STOP Elekk arrête de faire du flood surtout si tu aime bien ce qu'il fait!